HELP ! Calcul résistance solivage pour plancher combles perdus

Bonjour à tous,
Je souhaiterais installer un plancher en panneaux OSB 3 (15mm ou 18mm) ou agglo (18 mm) dans des combles perdus d’une maison des années 1930. L’objectif étant de stocker des cartons et de jouer occasionnellement de la musique (batterie).
La pièce fait 8,9 m x 6,8 m. Les solives font 3,5 cm x 17 cm pour une longueur de 4,3 m d’un côté et 4,3 m de l’autre. L’entraxe est de 50 cm. Un plafond en briquettes est fixé aux solives par des fils métalliques.
Le problème vient des fixations des solives sur les murs. Elles ne sont enfoncées que de 9 cm dans les murs et sur seulement 8,5 cm de hauteur (les 8,5 cm restants ayant été découpés !). J’envisage dans un premier temps de renforcer ces fixations de solives en plaçant des supports métalliques en U avec tiges filetées et scellement chimique (les murs sont en brique dont l’état est médiocre et qui ne sont pas parfaitement planes). Puis renforcement de l’autre côté des solives avec des équerres fixées sur la poutre centrale en bois. Dans un second temps, je souhaiterais placer des entretoises de 3,2 cm x 16 cm entre mes solives pour consolider le tout.
Etant novice dans ce genre de chantier (et ne voulant pas prendre le plafond sur la tête !), pourriez-vous m’indiquer si l’option supports métalliques en U + entretoises + plancher OSB ou agglo serait possible vue la configuration de mes combles ? De même quel serait l’espacement le plus judicieux pour les entretoises ? De plus, est-il indispensable de placer un pare-vapeur entre les solives et le plancher sachant que je ne compte isoler que la toiture en sous-face (qui recevra elle-même un pare-vapeur) ? Enfin, je compte couper mes panneaux de plancher selon une longueur de 150 cm afin que les extrémités reposent sur des solives avant vissage. Est-ce que la largeur de mes solives (3,5 cm) est suffisante pour fixer 2 extrémités de panneaux et laisser un joint de quelques millimètres ?
Un grand merci d’avance pour vos réponses et votre aide car là, je cale…
Fabien